A Felicidade.

A felicidade esta dentro de nós, so basta acreditar que existe.

terça-feira, 28 de janeiro de 2014

Le masque tombé, je me dévoile



Je me cache derrière mon sourire mais à l’intérieur, mon esprit supporte toutes mes blessures. Devant les gens, je semble heureuse mais une fois seule, je laisser tomber mes armes, je laisser couler mes larmes.

J’espère un jour ne plus devoir fuir, avoir le courage d’affronter ce passé, qui a laissé en moi des séquelles et des cicatrices, qui avec le temps perdront leurs valeurs mais qui, pour la vie me rappelleront qu’un jour quelqu’un a décidé que ma vie ne serait plus jamais pareille.

Mal au cœur à force d’y penser, je ne veux pas qu’on ait pitié, je veux juste être écouté.

Je n’arrêterai pas de croire qu’un jour mes blessures ne feront plus parties de moi et qu’un matin, je me réveillerai sans me rappeler que tu as hanté mes journées pendant des années.

                                               
                                                                                                                        
                                                                                                                       

terça-feira, 21 de janeiro de 2014

Ce qu'on veut ?



Et parfois ça arrive au moment où on s’y attend le moins. On est perdu, on ne sait pas quoi faire. On se pose pleins de questions mais on ne trouve jamais les réponses.

Un jour arrive, le doute s’installe et ça fait mal. On sait qu’on doit faire un choix mais on y arrive pas, on préfèrerait que quelqu’un le fasse à notre place.

On voit nos rêves s’écrouler, nos plans tombés à l’eau, on sait que tout finira par s’arranger mais le temps est long. On a envie que tout s’arrête, que tout redevienne comme avant mais, il est dur de garder espoir quand on traine dans le noir depuis des mois. 

On aimerait croire que ça n’était qu’un cauchemar mais non, c’est la réalité et ça fait d’autant plus mal quand on ne sait pas ce qui ne va pas. On se regarde alors au miroir, on essaye de comprendre qui on est, mais impossible, il se casse avant même qu’on ait compris ce qui n’allait pas dans notre vie

quinta-feira, 16 de janeiro de 2014

Enfermée sur moi-même



Il me battait mais je l’aimais !
Je ne sortais plus, je ne faisais plus rien, je n’avais plus de vie, il me l’avait enlevé.

J’ai voulu le laisser mais j’ai été aveuglé. On a voulu m’aider mais je ne les ai pas écoutés, je croyais pouvoir tout gérer. Un jour est arrivé, il m’a blessé, les marques visibles, impossible de les cacher, j’ai du tout expliquer.

Je lui ai caché, je n’ai pas voulu la mêler à mes problèmes mais aujourd’hui, je regrette car je sais qu’elle aurait pu en finir dès l’instant où elle l’aurait su.

Un choix à prendre a du se faire, je l’ai fait, je l’ai quitté et ma vie se reconstruit petit à petit depuis ce jour où j’ai réalisé que je serais bien mieux sans lui.

segunda-feira, 13 de janeiro de 2014

Reviens !

Je t'attends depuis des heures, j'ai compris que tu ne viendrais pas mais, j'aimerais croire le contraire, j'espère alors.

Ça n’est pas la première fois que ça arrive. Tu es souvent en retard et parfois, tu en arrives à t’absenter. J’ai beau te dire que tu nourrie mes journées, que tu les rends meilleures, j’ai comme l’impression que tu ne veux plus m’accorder de temps et pourtant, j’ai besoin de toi. 
Tellement de chose à découvrir et tu m’en interdis et tout ça, juste par envie. Je croyais que tu faisais partis de ma vie mais au fil du temps, tu ne fais que la détruire.

Je ne doute pas qu’un jour tu reviendras, mais d’ici là, je te demande de ne pas prendre trop de temps car, mon cher sommeil, j’aimerais encore profiter de pleins de merveilles.


quarta-feira, 20 de novembro de 2013

Un passé devenu présent

-- Et si le passé refaisait surface, aurais-je à nouveau la force de me battre ? Soigné ? Oui je l'ai été, oui je l'ai vaincu, du moins, c'est ce que je croyais.
Un symptôme a suffit pour que je comprenne que je ne serais plus jamais la même. C'est à ce moment là que j'ai compris le sens de la vie. D'ailleurs, j'en avais déjà oublié la signification jusqu'à aujourd'hui où la nouvelle pas nouvelle, tomba. Ne sachant que faire ni que dire, je suis partie. J'avais besoin de me retrouver, juste une dernière fois le temps que je comprenne pourquoi moi.

La première fois, je n'ai rien dit, je n'avais pas compris ce qui m'arrivais jusqu'au moment où j'ai eu compris que si je ne me reprenais pas en main, ce serait la fin.
Mais, à quoi bon tant d'efforts, tant de souffrances pour en arriver au point de départ ?
Les douleurs sont tellement intenses que je sens mon cœur se dégrader petit à petit. " J'aurai aimé être là quand..." ; les gens n'aiment pas cette phrase, ils préfèrent ne pas y penser. Pour eux, tout finira par aller bien, du moins, ils s'accrochent à ça, mais au fond d'eux, ils savent la même chose que moi, rien ne va plus, l'espoir s'est perdu, c'est sûr, on se reverra un jour.

Des larmes coulent, j'ai compris, cette fois-ci, c'est fini. --

quinta-feira, 17 de outubro de 2013

I'm not fine

Les jours passent et on croit que les choses passent mais en fait, elles restent et au plus elles restent, au plus ça fait mal.
J'ai essayé plusieurs fois d'y fuir, je croyais en être arrivé jusqu'au jour où une simple réaction fît surgir en moi de mauvais souvenirs.
Les larmes coulent à travers mon visage, je ne veux pas pleurer mais c'est plus fort que moi, je tente de les arrêter mais elles me disent que je l'ai mérité.

Et toute ces fois où j'ai souri sans le vouloir, et toute ces fois où je me suis montrer alors que je voulais me cacher ou encore, toute ces fois où j'ai ramassé des coups en silence, j'ai continué à survivre mais ce que je voulais c'était vivre.
On croit vivre en paix, on croit que ça n'arrive qu'aux autres, puis, un jour arrive, on vous tire dessus et là, vous perdez tout espoir.


Je me souviens de cette fois, j'étais assise sur un banc et je regardais cette plaine de jeux, les enfants, tous joyeux, s'amusaient. J'aimerais revenir en arrière, j'aimerais pouvoir tout recommencer, j'aimerais que ce jour ne soit jamais arrivé.

quarta-feira, 29 de fevereiro de 2012

Chère passé (...)

Quelque chose en moi vient de se réveiller, quelque chose que je connais déjà, cette chose qui me fait mal et qui m'empêche d'avancer.

Je croyais enfin être libre...

Tu m'as parlé avec tes mains, tu m'as touché avec tes paroles et du mal, tu m'en as fait. J'ai essayé de fuir, j'ai essayé de te faire partir mais tu es resté. Tu m'as souris et encore une fois, tu m'as dit que plus jamais je serais la même. Tu avais raison, j'y pense encore.

Quand il m'embrasse, j'ai peur, quand il me fait l'amour, je tremble, j'ai peur. Quand je me dis que ça doit se finir, c'est quand j'y pense le plus.

Tu me hante...

Chère passé, je demande qu'à t'oublier.... Alors, part !