A Felicidade.

A felicidade esta dentro de nós, so basta acreditar que existe.

quarta-feira, 20 de novembro de 2013

Un passé devenu présent

-- Et si le passé refaisait surface, aurais-je à nouveau la force de me battre ? Soigné ? Oui je l'ai été, oui je l'ai vaincu, du moins, c'est ce que je croyais.
Un symptôme a suffit pour que je comprenne que je ne serais plus jamais la même. C'est à ce moment là que j'ai compris le sens de la vie. D'ailleurs, j'en avais déjà oublié la signification jusqu'à aujourd'hui où la nouvelle pas nouvelle, tomba. Ne sachant que faire ni que dire, je suis partie. J'avais besoin de me retrouver, juste une dernière fois le temps que je comprenne pourquoi moi.

La première fois, je n'ai rien dit, je n'avais pas compris ce qui m'arrivais jusqu'au moment où j'ai eu compris que si je ne me reprenais pas en main, ce serait la fin.
Mais, à quoi bon tant d'efforts, tant de souffrances pour en arriver au point de départ ?
Les douleurs sont tellement intenses que je sens mon cœur se dégrader petit à petit. " J'aurai aimé être là quand..." ; les gens n'aiment pas cette phrase, ils préfèrent ne pas y penser. Pour eux, tout finira par aller bien, du moins, ils s'accrochent à ça, mais au fond d'eux, ils savent la même chose que moi, rien ne va plus, l'espoir s'est perdu, c'est sûr, on se reverra un jour.

Des larmes coulent, j'ai compris, cette fois-ci, c'est fini. --

quinta-feira, 17 de outubro de 2013

I'm not fine

Les jours passent et on croit que les choses passent mais en fait, elles restent et au plus elles restent, au plus ça fait mal.
J'ai essayé plusieurs fois d'y fuir, je croyais en être arrivé jusqu'au jour où une simple réaction fît surgir en moi de mauvais souvenirs.
Les larmes coulent à travers mon visage, je ne veux pas pleurer mais c'est plus fort que moi, je tente de les arrêter mais elles me disent que je l'ai mérité.

Et toute ces fois où j'ai souri sans le vouloir, et toute ces fois où je me suis montrer alors que je voulais me cacher ou encore, toute ces fois où j'ai ramassé des coups en silence, j'ai continué à survivre mais ce que je voulais c'était vivre.
On croit vivre en paix, on croit que ça n'arrive qu'aux autres, puis, un jour arrive, on vous tire dessus et là, vous perdez tout espoir.


Je me souviens de cette fois, j'étais assise sur un banc et je regardais cette plaine de jeux, les enfants, tous joyeux, s'amusaient. J'aimerais revenir en arrière, j'aimerais pouvoir tout recommencer, j'aimerais que ce jour ne soit jamais arrivé.