A Felicidade.

A felicidade esta dentro de nós, so basta acreditar que existe.

quarta-feira, 31 de agosto de 2011

Il faut que je change

Il est déjà tard, pas trop tard mais pas trop tôt non plus, j’ai soudain eut une envie d’écrire sans savoir vraiment quoi dire. Je ne sais pas si je veux quelque chose de long, de constructif ou alors avec un sens. Je crois que je veux tout simplement m’isoler, me libérer mais je ne sais pas quoi dire, encore moins pourquoi l’écrire. J’ai parfois envie de partir, partir loin d’ici mais je me dis que c’est une perte de temps car tous les voyages ont une fin. J’aimerais naviguer sur ton bateau, ton, je ne sais pas qui c’est, mais je veux y être, je veux voir pour la première fois, ce couché de soleil plonger dans l’océan et voir s’éclairer sur mon visage, un nouveau moi.

Je veux vivre de nouvelles expériences, je veux grandir et rester une enfant, je veux jouer comme dans le passé, je veux rester pour voir grandir tous ce qui pousse en moi. Je veux rester ainsi pour pouvoir vivre encore une année et me dire que ceci n’est que le début, pour dire que j’y suis arrivé sans même avoir commencé, je veux vivre cette vie comme nul autre ne l’a fait. Je veux être meilleure que les autres mais je sais que ce rêve reste à désirer mais je sais aussi que je gagnerais car toutes les victoires sont à moi.

Je veux fuir a toutes ces choses qui m’empêche de vivre et me font survivre, fuir a tout ce qu’on me dit, a tout ce qu’on me demande. Il est certes, je n’obéirai jamais. Je comprends pas ou alors je fais exprès de ne pas comprendre mais c’est vrai que j’ai décidé de ne pas faire d’effort, je dis que je veux alors que je peux pas, je dis que je peux alors que je veux pas et une confusion s’installe en moi et la question surgit : ‘’mais qui es-tu étrange inconnu ?’’. Je veux rester ici, écrire tout et n’importe quoi mais ne me demander pas de répondre a cette question, je ne pourrais pas y répondre, j’y songerais même pas, elle me fait peur et pourtant ça ne reste que des paroles qui forment une phrase. Je veux juste disparaitre ou alors me reconnaitre, me regarder dans une glace et voir à quel point je suis belle mais tant que mon cœur sera ainsi, mes lèvres trembleront et mes larmes tomberont. Je veux savoir ce qu’elle est, cette chose qui à arrêter de respirer, cette chose à forme étrange, cette chose qu’on appelle beauté intérieure, cette chose vide alors qu’il y avait tant d’amour à donner, à partager.

Je veux me réveiller a tes cotés sans savoir qui tu es réellement, je veux juste me réveiller dans les bras de quelqu’un, qu’il soit connu ou inconnu, je veux sentir. Sur ces nuages, je désespère tout en espérant disparaitre et je vois ma vie s’immoler car je n’ai plus les forces de résister a ce vent qui tente de me prendre tout ce que j’ai construit jusqu’à aujourd’hui.

Mon miroir s’est cassé mais j’en veux pas un autre, je vais le garder, il me rappellera ce que je suis devenu, une jeune fille sans âme.

segunda-feira, 20 de junho de 2011

Sans conviction

Malgré la douleur qui est en moi, malgré les jours qui passent et qui restent, malgré tout ces souvenirs que je ne veut plus, je ne déséspère pas..

''Parfois le passé est quelque chose qu'on ne peut pas éviter,

Parfois le passé est quelque chose qu'on ne peut pas oublier,

Et parfois on apprend quelque chose de nouveau,

Qui change tout ce qu'on sait sur le présent''

Je marche jour après jour sans savoir où ce chemin me mènera, mais je suis sûr que je me retrouverais, je suis sûr que je les afronterai (les obstacles) et si il le faut je suis sûr que je me sacrifirai pour pouvoir enfin me sentir bien car j'ai appris que dans cette vie, on n'obtiens rien sans s'immoler..

''Ne pas savoir qui je suis signifie avoir la capacité de devenir qui je veux''

Je me reconstruis peu à peu !

quinta-feira, 19 de maio de 2011

Tu m'as éclairé !

Je n'arrive pas avoir une explication concrète mais le fait de ne plus t'avoir à mes cotés m'affaiblit.


J'appréciais quand nos mains s'enlaçaient et que sur nos visages un grand sourire se formait. Et toutes ces nuits que tu restais réveillé juste pour m'écouter, et toutes ces fois que je t'ai dit que je me sentais bien à tes cotés ou toutes ces fins de journée que tu partais tout en me regardant avec des yeux doux… Tu t'exprimais d'une façon différente des autres mais moi, je l'adorais.

Je me souviens d'avoir lu à travers ton regard que tu serais toujours présent tant que j'en aurais besoin, ça m'avais rassuré, mais sans jamais avoir vraiment compris le sens de la phrase. C'est vrai, tu ne parlais jamais même quand il s'agissait de t'expliquer mais quand tu sentais que ça n'allait pas, tu venais me rejoindre et tu pleurais avec moi et juste ce fait, me faisait sentir bien à nouveau.

Tu m'as soutenu jusqu'à la fin, tu m'as fait découvrir les merveilles qui se trouvaient au fond de moi; tu m'as montré que le bonheur existait et voilà qu'aujourd'hui tu es partis.


Ma chère plume, j'ai enfin compris que mon bonheur t'offrirais des ailes pour que tu puisses t'envoler mais tu ne m'as pas laisser le temps de te remercier.

domingo, 6 de fevereiro de 2011

Un 'je'

Je sais plus j'en suis,
Je vois ma vie défiler et sans m'en apercevoir
Elle me fuit atravers les doigts
sans que j'aye la chance de pouvoir lui dire une derniere fois,
Bonsoir

Mon temps,
Je te demande de revenir
Car j'ai encore beaucoup a apprendre
Et tout ces jeunes qui trainent dans les rues
ont tellement a dire
Qu'à force de tout garder dans l'esprit
Ils vont finir par mourrir
épuiser de tant demander a la douleur de s'exclamer
Perdante

J'ai vu la lumière naître
Et atravers elle, j'ai vu ce sourrir qui auparavant me soufflait ce secret a l'oreille :
''ceci n'est que le début de la fin''

quarta-feira, 2 de fevereiro de 2011

Pior que a convicção

"Ainda pior que a convicção do não é a incerteza do talvez,é a desilusão de um quase.
É o quase que me incomoda, que me entristece,
que me mata trazendo tudo que poderia ter sido e não foi.
Basta pensar nas oportunidades que escaparam pelos dedos, nas chances que se perdem por medo,
nas idéias que nunca sairão do papel...


Pergunto-me ás vezes, o que nos leva a escolher uma vida morna?!
Ou melhor, não me pergunto, contesto.


A resposta eu sei de cor, está estampada na distância e frieza dos sorrisos, na frouxidão dos abraços, na indiferença dos Bom dia, quase que sussurrados.
A paixão queima, o amor enlouquece, e o desejo trai. Talvez esses fossem bons motivos para decidir entre a alegria e a dor, sentir o nada, mas não são.
Se a virtude estivesse mesmo no meio termo, o mar não teria ondas,os dias seriam nublados e o arco-íris em tons de cinza."

domingo, 30 de janeiro de 2011

La perte d'une personne vivante

Père je t'écris cette lettre, depuis ses années où maman t'a quitté entre nous l'amour est illettré,

Cette lettre va te saouler, Entre nous y'a pas que ça qui te rend saoul l'alcool T'a noyé,

Aujourd'hui mon cœur a parlé, n'arrête pas de saigner,

Mon encre sont mes larmes salées, ma plume as pleuré,

Plus le temps s'écoule et plus je souffre tout s'écroule,

Le bateau sur lequel tu as laissé maman et moi va couler, Rêves achevés

Le cœur écorché par les parcelles, pendant que tu mets un voile sur ta réalité

Ce son est ma délivrance de ta vérité, Où est-ce que je te trouverai quand on m'aura annoncé ton décès ?

Mes petits yeux marron n'ont pas blessé ta lucidité,

Tu n'as pas su prendre le relais, c'est la rue qui m'a bercée,

Elle m'a adoptée, me l'as dis, me l'as chanté, me le dira, me mariera, je l'aie aimée

Le moral Soufflé, Le bédo est un pansement sur mes plaies,

Chaque mot est une dalle de tristesse déposée, entre ses versets, chaque goutte versée

Livrée sur ce bout d'papier, délivrance et vient de ma bouche cette fumée épaisse, de ma tristesse

J'ai filé Dans le gouffre, Je me reverrais voir la lumière, une fois libérée

Un fantôme dans ma vie qu'on appelle paternité

Signé,

Confidence d'un cœur écorché


(Florian)

domingo, 16 de janeiro de 2011

Boum !

Ce rêve

Imaginaire et jamais réel

Il m'a offert l'audace de t'aimer


Et cette imagination trop débordante

Je l'ai confondue avec la réalité

Je vois bien que tu me touve encombrante

Mais l'imagination me laisse espérer


Penser à toi

A longueur de journée

C'est comme une voix

Qui me force à t'aimer

domingo, 9 de janeiro de 2011

Sem querer

Sinto uma vontade enorme de chorar. Nao sei porque mas sinto que uma lagrima vai derramar e que quando me meter a chorar, nao vou ter ninguem para me apoiar, ninguem para me abraçar.

Nao tenho pena de mim, tenho pena do meu ser.